@Giordano Bruno
En effet, « xénophobie », « agoraphobie » et même « homophobie » sont des mots bien construits : un préfixe et un suffixe grec.
« Grossophobie », à côté, c’est du bricolage.
Cela me rappelle, au début de l’ordinateur personnel, un petit plaisantin avait écrit un programme qui combinait au hasard des préfixes et des suffixes grecs. Il en avait extrait des pépites telles que « pangamie » (tendance à épouser tout le monde), « épiscodrome » (terrain d’atterrissage pour évêques).