Pourquoi des Français ont-ils reçu l’ordre de notre
état-major d’informatiser le fichier central rwandais et notamment le
fichier « PRAS » des Personnes à Rechercher et A Surveiller, dans un
contexte pré-génocidaire où les Tutsi étaient clairement ciblés ?
La réponse à cette question n’est certainement pas au Congo, même en
exagérant les considérations périphériques, mais en France et au Rwanda.