Oui, on regardait l’« événement » en mangeant des saloperies américaines devant la télé (coca et autres,...). Rien à voir avec ce film sublime de Mélies. Désolé, mais le spatial me laisse totalement froide, sachant que l’investissement fianacier couvrirait largement la sécurité sociale et les dettes des pays. Rako, au fond, toujours un ado boutonneux.