(Bon article)
Il est vrai qu’à la fin d’une vie
sans (trop) de « soucis consommatoires »,
peinard ds un fauteuil devant un
écran et le verre à la main (le 3eme ?)
la perspective d’un bouleversement
radical, vers un inconnu relatif
d’une existence déjà vécue mais sans
suite identique,
ça paralyse les neurones, ça réveille
les doutes, l’ironie puis la hargne…
.
Personne n’a jamais changé d’avis en
lisant des commentaires d’un blog !
Au mieux, on s’informe auprès de sources
plus sûres.
Au pire, on éructe, on s’enferre, on
cherche d’autres arguties,
On s’accroche au premier jésus-christ
qui passe, etc…
Pendant ce temps, elle chauffe, les
espèces disparaissent à jamais
Mais on ne fait rien, on
rumine. Et tant pis pour les gosses…