Ce qu’il y a de triste dans tout ça c’est que les vaines complications de votre prose laissent à penser au quidam que le Soi est une réalité tellement subtile qu’il est vain de tenter de la comprendre alors que la chose est bien plus simple qu’il n’y paraît.
Au moins l’aidez-vous à saisir un temps qu’il existe un au-delà à la vie d’automate désirant enfermé dans des routines téléguidées par le marketing. Mais, malheureusement, vous ne lui donnez qu’une envie, y revenir au plus vite...
Bref, je ne saurais trop vous recommander d’y mettre plus de pédagogie, plus de simplicité aussi...