capobianco 10 août 2019 09:41

@quijote
«   la marche forcée vers « le Bien ». Qui, comme chacun le sait, doit passer par le mélange. »
Mais qui parle ainsi ? Pas les immigrés mais certains donneurs de leçons, hommes politiques, artistes, journaleux. Pour la grande majorité l’immigration n’est pas un choix mais une nécessité vitale (nos guerres, pillage de leur pays...). vous ciblez bien les vrais responsables des problèmes que rencontrent les immigrés et les locaux, mais vous semblez vous en prendre aux victimes. 
«  Quelle chance : des immigrés discrets, respectueux, qui veulent s’intégrer et ne pas vivre aux crochets de la société. Vous avez récupéré les meilleurs »
Vous n’en connaissez pas des gens immigrés ou issus de l’immigration « discrets et respectueux » ? Ce sont ceux qui ont un travail, qui n’ont pas été rejetés ou exploités pour leur origine. Et des gens qui vivent « au crochet de la société » avec de vrais privilèges et à nos frais et qui nous font la leçon permanente, qui décident pour nous, qui détiennent la « vérité » et distribuent nos impôts avec le CICE par exemple et qui nous font matraquer si l’on manifeste ?
Perso, je ne défends pas l’indéfendable c à d les délies, crimes, agressions et toutes incivilités de qui que ce soit, mais il faut combattre les vrais responsables qui « se marrent » de voir les gueux que nous sommes se démener de ces problèmes. Eux sont copains avec des délinquants économiques, des dictateurs amateurs de foot, nos « querelles » les réjouissent, pendant ce temps ils sont tranquilles. 
«  Priez pour qu’il ne vous arrive pas une petite centaine de ceux qui viennent ces dernières années »
Vous avez raison mais si ces pauvres gens n’arrivaient pas dans un pays de 6 millions de chômeurs et poussés à quitter leurs pays par nos sales politiques les choses seraient bien différentes. Issu d’une famille d’immigrés des années 1920 qui, eux, avaient choisi de répondre à des affiches dans leur pays, leur proposant du travail, un logement, donc des conditions acceptables et acceptées. Même si tout n’était déjà pas si tranquille, le rejet des « ritals », des « espanches », des « bicos » existait pourtant. Les populations sont sacrifiées pour des intérêts économiques dont seuls quelques « élites » profitent, aussi il ne faut pas se tromper d’ennemis.


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