quid damned quid damned 12 août 2019 18:52

Un des points fondamentaux sur lequel il me parait important d’insister, même si c’est évident, est le fait que les français se soient fait voler leur choix démocratique.

Quand Sarkozy a signé le traité de Maastricht (travesti en traité de Lisbonne) l’opposition avait du pain béni pour le destituer ou fortement le déstabiliser. 


Sarkozy qui rappelons-le, a aussi supprimé le délit de « crime de haute trahison du président de la république ». Cette ahurissante initiative n’aurait jamais du être tolérée ni par l’opposition ni même par la majorité et aurait du être également une raison de destitution.

Or il n’en fut rien, cet épisode aurait du ouvrir les yeux de toutes et tous sur la connivence et l’indignité de nos élus (conseil constitutionnel etc inclus) et faire douter sur le bien fondé de la construction européenne. 

Cela montre aussi la collaboration des media qui n’ont pas jugé bon d’alerter correctement l’opinion publique sur ces gravissimes forfaits :

aucune remarque pertinente sur le fait que « Lisbonne » n’était que l’avatar de « Maastricht » alors que le referendum avait montré que le peuple y était opposé.

aucune dénonciation sur la magouille présidentielle sur le fait de supprimer le délit de haute trahison du chef de l’état.

Pourtant cela aurait du provoquer au minimum un tsunami de manifestations.


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