Les imbrications entre état et mafia peuvent expliquer comment on suicide quelqu’un placé « sous contrôle » pour détourner et désamorcer le désordre prévisible lié au futur procès. Les noms qui auraient été rendus publics risquaient de déstabiliser le régime. Dans les prochains
jours, avant que les nouvelles ne soient enterrées, les
HSH effaceront ces noms qu’ils protègent.