ddacoudre ddacoudre 17 août 2019 10:18

Bonjour Le développement de de la conscience est un élément fondamental à comprendre. Pour rester sur les métaphores bibliques qui l’évoquent dans la genèse, nous savons aujourd’hui que notre espèce en disposait à l’âge de pierre pour fabriquer des outils et avant pour chasser où faire du feu en frottant deux bouts de bois. Nous savons qu’il n’y a pas là de l’innée mais du culturel issus d’une faculté innée apprendre et concevoir. C’est mêmes facultés l’on poussait à s’interroger sur son être et son devenir. Les philosophes Grecs pour Occident ont laissé leurs des écris dont nous disposons des fragments, et pour les ascendants l’art pariétal que nous interprétons, comme toutes les découvertes de nos ancêtres par l’archéologie depuis 1856 découverte du premier crâne. Toutes nos découvertes ne remettent pas en cause l’existence d’une puissance indéfinissable à laquelle nous donnons le nom de Dieu pour certains. Le grand architecte pour d’autres, la Nature ou encore d’indéfinissable. Quelque soit le nom les hommes parlent de la même choses. C’est à dire de comprendre que leur existence se déploie sur une planète dans une galaxie en un univers issus d’un Big bang accessible à notre conscience dont nous savons qu’il ne peut pas provenir de RIEN. Cela n’a fait que reculer celui dont nous dépendons. Le clou qui tient par un lien le pendule que nous sommes. Cette conscience de ce lien nous conduit au clou que nous ne pourront jamais être. Sauf à le devenir en changeant d’état. Nous ne pouvons être à la fois le clou et le pendule. Tous les hommes qui ont perçu ce lien qui les relient à l’inconnaissable se sont inspirés de cette relation pour en définir des conditions d’existences qu’ils comprenaient être rendu possible par l’existence d’une puissance qui leur était supérieur. Leur seul défaut fut de croire que leur préconisation étaient immuables et que l’existence de l’oeuvre de cette puissance pouvait être défini éternellement par des écrits sans qu’ils s’ajustent, s’adaptent à l’évolution des Savoirs qui ont découlé de la limite de l’inspiration humaine. Précisant par la philosophie « scientifisé » des approches qu’ils avaient déjà perçu et ce dont il fallait se prémunir pour vivre en harmonie. La foi et la croyance en une puissance supérieure ne sont pas le problème, c’est de croire que l’inspiration humaine par prophète ou fils de dieu sont absolues et doivent s’appliquer sans Savoirs à quoi elle correspond et pourquoi. L’instruction des sciences humaines est indispensable, mais ne doit pas laisser croire que nos ancêtres étaient des sots. Car ils avaient saisi et compris avec moins de moyens d’investigation ce que nous découvrons avec eux. Quand ils parle de l’esprit de dieu et que nous parlons d’un flux d’énergie qui parcours l’univers nous parlons de ma même choses. Dieu est il énergie NON. Nous ne savons pas ce qu’il est mais nous savons qu’il existe puisque nous le nommons de différentes manières. S’il n’existait pas nous ne pourrions pas en parler car il ne nous aimerait pas. Est ce que rien existe puisque nous le nommons forcément, mais il ne nous a jamais rien inspiré pour exister car comme dieu, il indique la limite de notre conscience. Les religions portent la couleurs des territoires qui les ont vu naître. Un Inuite n’a pas besoin de burka de foulard d’interdit de manger de la viande le vendredi, de chemin de croix pu de la parabole du semeur. Rendre à l’homme des écrit ne les invalide pas, mais leur vite être mortel Les religions n’ont pas été écrite pour fabriquer des cercueils Cordialement ddacoudre OverBlog


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