McGurk McGurk 19 août 2019 17:51

Il propose probablement d’autres services moins « prestigieux » où les marges sont moins voire beaucoup moins abusives pour prévenir de tout effondrement éventuel de la demande. Ce qui implique qu’ils doivent faire plus « d’efforts » pour arriver à un niveau de rentabilité égal.

Parce que, à ce stade, l’écroulement de la demande signifie la fin d’un business (en l’occurrence ici le luxe) et donc des dettes proportionnelles aux invendus et charges accumulées pour créer ledit produit (salaires, électricité, etc.). Le dépôt de bilan doit être assez rapide.

Quant au phénomène psychologique de la vente du secteur du luxe, il au phénomène de « moutonisation » (où chacun veut avoir la même chose que son voisin parce que « ça fait super cool ») induit par l’envie des gens elle-même provoquée par une bonne dose de publicité (physique/dématérialisée) et de marketing.

Ne jamais croire que les panneaux d’affichage ne servent à rien, on en est littéralement entouré et ils ont bel et bien un effet sur notre consommation.

Pour aller plus loin, les magouilles entre les grandes entreprises et l’Etat (qui leur accorde des avantages délirants face aux PME) ont sans doute largement enrichi à la fois ces industries et ceux qui tiennent les ficelles (les patrons et surtout les actionnaires qui sont sûrement largement plus riche).


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