@Antenor
Allez sur https://vogage-roman-art.blogspot.com/2011/05/les-fresques-de-gourdon.html où l’image est plus nette Oui, c’est étonnant, mais il est possible que pour la femme, ce ne soit ici qu’un symbole. Reste à savoir si cette coutume a perduré en Gaule, je ne le pense pas. Dans la cathédrale essénienne de Chalon-sur-Saône, c’est l’offrande du pain qui est mise en exergue. Cela veut dire que la colonie qui s’est installée à Gourdon avant — 88 était juive imposant la circoncision mais qu’après — 88, les 8000 esséniens qui ont émigré en Gaule ont préféré le symbole du pain partagé, symbole attesté par les textes de Qumrân : il y est écrit que lors du saint repas, le prêtre tendait le premier la main sur le pain consacré et que le messie espéré agira de même quand il viendra (Rouleau de la Règle, VI, 2 à 6)...
Il étendra sa main gauche sur le pain de vie, et de sa main droite aux deux doigts dressés, il bénira toute la congrégation de la communauté (Rouleau de la Règle, II, 18 à 22).
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