Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 17 septembre 2019 17:31

@ l’auteur

Votre article mérite d’être lu car vous avez rassemblé des éléments probants quant à l’attitude charitable de l’Eglise durant la seconde guerre mondiale. ça change de la bienpensance gauchiste, anticléricale qui ne songe qu’à clouer l’Eglise au pilori de sa morale victimaire, accusatrice et donc, haineuse (et oui, la haine est d’abord chez ceux qui accusent non ?)

Peut-être cela en aidera-t-il certains à changer de certitudes ?

Par contre, concernant l’anticommunisme, il me semble que c’est vous qui devriez changer de certitude.

En communiquant ses trois secrets à Fatima le 13 octobre 1917, soit quelques jours avant la Révolution bolchévique, la Vierge alertait sur les conséquences désastreuses de ce qui allait arriver en Russie.

Ce n’était pas une question de sous ou de soucis petits-bourgeois. La Vierge et plus généralement l’Eglise ne se soucient JAMAIS de cela (on voit bien là que vous êtes étranger à cette foi). Le souci était le massacre des populations de paysans chrétiens par les commissaires au plan soviétiques (disons 15 millions de morts), le massacre des prêtres, la destruction des églises.

Deux beaux livres peuvent vous éclairer ici : « La controverse de Sion » de Douglas Reed, violemment anticommuniste et « Deux siècles ensembles » de Soljenitsyne. Un livre remarquable par l’objectivité de l’enquête et l’absence de ressentiment.


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