Pierre Régnier Pierre Régnier 19 septembre 2019 20:29

@Jacques-Robert SIMON

En étudiant la question de la violence religieuse dans les textes sacrés (textes qui ont donc été sacralisés) je constate que l’église catholique tient à maintenir sacrés ceux d’entre eux qui attribuent à leur Dieu des ordres de commettre de nombreux massacres. Ce maintien est le résultat de la primauté accordée au dogmatisme, fut-il criminogène, sur la raison.

On peut aussi, en se référant à la formule de Saint Anselme définissant la théologie comme étant « la foi qui cherche l’intelligence », accuser l’Église de s’acharner à conserver une criminelle bêtise dans la foi, bêtise qui aurait dû disparaître de toute démarche religieuse après l’auto-sacrifice de Jésus, le "maître à penser Dieu" des chrétiens, il y a 2000 ans.

Et je conclus : c’est ce maintien que je nomme la théologie criminogène persistante dans l’église catholique et dans son enseignement.

C’est ce que je combats par l’écrit depuis 20 ans, en m’efforçant de convaincre mes amis catholiques qu’il est plus que temps, pour eux, d’exiger son ferme rejet par toute la hiérarchie de leur religion, du pape au simple prêtre de leur paroisse.


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