Je ne vois pas beaucoup le mot « social » dans cet article...Les zones de non-droit sont sans nul doute inacceptables mais comment ces gens en sont-ils arrivés là ?

Misère, pauvreté, logements insalubres, environnement propice à toutes les dérives.

Il faudrait raser les barres d’immeuble, réinventer l’architecture de ces îlots de pauvreté avec des bâtiments bas de deux ou trois étages, y mettre de la végétation, des commerces, des services publics et surtout sociaux.

Il faut mettre le paquet sur les éducateurs spécialisés et tous les métiers qui, de près ou de loin, accompagnent les « miséreux » car ce sont eux qui souffrent en premier des trafics de drogue de ces zones. Des éducateurs pour éviter que les plus jeunes tombent dans la drogue et le deal. Et il faut arrêter avec l’hypocrisie de la Police qui a largement les moyens d’évacuer tous ces trafics. Sauf qu’elle ne fait rien, ça doit forcément arranger quelqu’un.