@L’apostilleur
Je crois que la réponse est dans la conclusion du texte.
"Ce capitalisme sans frein et sans âme n’est pas une fatalité mais relève
de choix politiques. Il est urgent de partager plus équitablement les
richesses des entreprises avec celles et ceux qui la créent, les
salariés et d’allouer plus efficacement le capital à l’investissement
productif. Seules des régulations publiques ambitieuses permettront de
créer un changement systémique visant à répondre aux défis de ce siècle."
C’est normal, puisque ce sont des décisions politiques qui ont dérégulé tout ce qui était régulé auparavant.