Nicole Cheverney Nicole Cheverney 8 octobre 2019 10:13

@Cadoudal

Bonjour, la France est paumée dans les méandres bancaires, depuis 1815, chute de Napoléon et surtout par le fameux Congrès de Vienne où la France s’est enchaînée aux banques anglaises qui faisaient et défaisaient les pays d’Europe.
Depuis, nous buvons le lent verre de cigüe que nous présentent les dites banques. Le jour où les post-révolutionnaires de 1789, les loges ont pris le pouvoir en France, après avoir renversé le roi, et les pouvoirs qui sous-tendaient la société monarchique, pour les remplacer par les « droits de l’homme », tout a été fait pour que la France disparaisse lentement mais sûrement. Si nous, le peuple, réagissons dans l’immédiateté ,par contre, dans les officines des arrières-cuisines d’un Etat aussi gangrené que la France, seul, pour eux, compte le temps long de l’Histoire.
Que prônent-ils pour asservir un pays et son peuple ? La dette. Aucun Etat ne peut se défaire vraiment de ce vieux principe d’érosion étatique mis en place depuis le début du XIXe siècle. Sauf, quelque génie économique, notamment allemand comme Herman Shast, un homme du XIXe siècle.
Le reste, pour que les banques assurent leur pouvoir dominateur, c’est l’agencement de tout ce qui va diluer le principe de Nation, principe pourtant si républicain un paradoxe, et le principe d’homogénéité du peuple. Les banques ne redoutent que deux choses, cette homogénéité et le principe de lutte des classes, très marxien.
Aujourd’hui, un seul principe pour le peuple à suivre si nous voulons nous en sortir vraiment : ni droite, ni gauche, et prendre pour s’en sortir ce qui vient d’essentiel de la droite : les valeurs familiales, et le respect du drapeau, le respect des institutions. De la gauche, les valeurs humanistes au sein de la guerre des classes. Cette guerre des classes a été remplacée, parce qu’elle donnait des sueurs froides à la Finance, aux banques donc, par le communautarisme, soit la dislocation du tissu social en diverses catégories essentialisées : immigrés, les femmes, les blancs, les noirs, transgenre, etc.
Cette dislocation de la société a permis aux banques d’aplanir la société, de la museler avec ses forces répressives : police, justice. Et les media forces propagandistes.
Tout repose sur le pouvoir de l’argent, et de la propagande dans un cycle infernal de corruption généralisée, de la base au sommet.
Autre chose qu’il faut souligner, les loges, n’ont eu de cesse, avec la dette aux Etats, de détruite la chrétienté dans notre pays, pour la remplacer comme le dit si bien Vincent Peillon par la laïcité, qu’il reconnaît être non pas un principe du « vivre ensemble chacun dans sa religion », mais comme une RELIGION DE REMPLACEMENT DE LA CHRETIENTE qu’ils abhorrent et sont en passe de détruire définitivement.
Même les communistes, qui étaient athés, que ce soit en URSS ou à Cuba, n’ont osé détruire cet héritage séculaire et millénaire, la Chrétienté. Au sortir de l’URSS, les Russes ont retrouvé leurs racines chrétiennes orthodoxes, quasiment intactes. Mais, en France, qui fut fille aînée de l’église, c’est avant-tout le langage de la haine anti-chrétienne qui a parlé. Et la destruction de la chrétienté qui a primé.


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