Séraphin Lampion Séraphin Lampion 8 octobre 2019 16:45

La mère de Proust le surnommait « mon petit jaunet », « mon petit serin », « mon petit benêt » ou « mon petit nigaud ». Dans ses lettres, elle le nommait « mon pauvre loup ».

Ses amis et relations lui attribuaient d’autres sobriquets tels que « Poney », le « Flagorneur » ou le « Saturnien », et ils utilisaient le verbe « proustifier » pour qualifier sa manière d’écrire. Dans les salons, il était « Popelin Cadet », et ses dîners dans le grand hôtel parisien lui ont valu l’appellation de « Proust du Ritz ».

Allo quoi ! Prout Proust !


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