La mère de Proust le surnommait « mon petit jaunet », « mon
petit serin », « mon petit benêt » ou « mon petit nigaud ». Dans ses lettres, elle
le nommait « mon pauvre loup ».
Ses amis et relations lui attribuaient d’autres sobriquets
tels que « Poney », le « Flagorneur » ou le « Saturnien », et ils utilisaient
le verbe « proustifier » pour qualifier
sa manière d’écrire. Dans les salons, il était « Popelin Cadet », et ses dîners
dans le grand hôtel parisien lui ont valu l’appellation de « Proust du Ritz ».
Allo quoi ! Prout Proust !