leondelyon 12 octobre 2019 20:27

Déjà en 2008, et ce n’était pas du Mélenchon dans le texte :

https://amlatineterecuerdo.blogspot.com/2008/08/mais-il-va-fermer-sa-gueule-le-paolo.html

(extrait) Les ex-mao jusqu’au boutiste, fils à papa des 70s qui poussaient à peu de frais les masses laborieuses et paysannes du campo au radicalisme débile et brouillon, à la prise de risque la plus stérile, aveugle et volatile, ces parangons oppressifs et moraux, ces anciens guérilleros intransigeants (car ce Paranagua l’a été, guérillero en Amérique latine ! Oui Monsieur !), qui expient leurs propres fautes, LEURS comportements violents et erratiques, et LEURS graves abus commis il y a quelques décennies, sur le dos de processus d’émancipation actuels, de gauche, mais civils, qui n’ont RIEN à voir avec leurs propres écueils. Ces gens-là n’ont jamais fait de mea culpa sur leur culte Stal ou Mao...Ils préfèrent tirer à tout va sur la gauche, désormais. Pareil en littérature ou « Essayisme » : des « itinéraires Vargas Llosa » en France, Sollers, Bruckner, Glucksman, il y en a un paquet...

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Oui, Mélenchon a une grande G... mais on ne prête qu’aux riches, ; or dans le domaine politique et son histoire je pense qu’il ne craint pas grand monde sur le plan de la richesse des sources. Une seule chose m’inquiète, sa fuite en avant merdiatique qui risque de devenir franchement contre-productive, la « révolution populaire » ne me paraissant pas actée de sitôt. On continuera donc à le faire passer pour « l’ignoble » de service, au détriment de la gauche radicale qu’il a initiée et incarnée.


La différence entre une dictature et une démocratie occidentale est que la D.O. fournit la vaseline, notamment par médias interposés.


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