Bon article. Mariveaux semble plus adapté en ce moment que Shakespeare. Bien qu’il y ait quelque chose de pourri au royaume d’Angleterre. Mais je ne sais pas si cela se terminera par une fable de La Fontaine, type « Tel est pris qui croyait prendre… »Une évidence, Jobo n’a aucun scrupule. Et cela semble plaire à beaucoup d’anglais, y voyant une sorte de qualité, pour passer en force, et se moquer des lois communes. 

Le trou noir évoqué ici, par la disparition de la frontière entre UE et grande bretagne, si ce n’est qu’à travers de fumeux contrôles en mer, et régi par les anglais eux mêmes, a depuis le début de cette affaire, très peu traitée ; quand aux conséquences.. Hors demain, il risque de ressurgir. Il faudrait tout de même anticiper le pire, pour mieux l’éviter. Car Il s’agit bien d’un cheval de Troie dans l’économie européenne, et à travers lequel pourrait se déverser tous les produits pourris de la mondialisation, l’Angleterre devenant une sorte de Singapour décomplexée, faisant des pieds de nez, et même pire, à l’UE. Ceci avec la complicité de l’Irlande, qui ne l’oublions pas, est un pays qui pratique l’opportuniste fiscal, et propose des taux d’imposition inédits pour attirer les sièges d’entreprise. Je m’étonne qu’à Bruxelles, on traite cela un peu par dessus la jambe. J’allais dire « la manche »