Bonjour cher Gabriel,
Tout cela est si vrai et si bien décrit qu’au lieu de me chagriner, cela m’a fait rire.
Votre spleen est trop proche de la réalité Gabriel, trop, c’est trop ! Mais que pouvons-nous faire ?
Et peut-être avez-vous oublié, dans vos tristes constatations, le sort des vieux, laissés à l’abandon lorsqu’ils n’ont pas suffisamment d’argent pour entrer dans un HEPAD, ou une sérieuse maison de retraite hors de prix...
Mais j’en rajoute... Pardonnez-moi. Mon rire risque de tourner au vinaigre.
Bien à vous.