@generation désenchantée. Connaissant l’exiguïté de la terre arable dans la vallée du Nil, plus les conflits en amont sur la répartition de l’eau, je reste très soucieux quant à l’avenir de l’Egypte.
Ce qui m’avait fait caresser l’idée d’un canal et de turbinage pour amener l’eau de Méditerranée dans la dépression de Qattara. Investissement dont le retour sous forme de pluies s’étale sur des siècles, donc longtemps non encore rentable.
Difficile à évaluer et à financer.