Kapimo Kapimo 3 novembre 2019 15:37

Quand vous faites le parallèle entre nations et Vichy ("Le combat pour l’écosocialisme ne doit pas viser à retourner à la République de Vichy" )

, vous vous inscrivez parfaitement dans le travers dénoncé par l’auteur lorsqu’il écrit : Tel est le dogme des inutiles qui rêvent d’une civilisation mondiale impossible mais qui s’acharnent à détruire les civilisations existantes en prétextant que les races comme les nations n’existent pas. Dire qu’elles existent est immédiatement traduit comme une volonté de croire sa nation ou sa race supérieure.

Par ailleurs, vous écrivez :

"Mais la mondialisation ne se combat pas en vaines jérémiades, l’évolution est là qui, que l’on y adhère ou non, nous enveloppe de son ombre à laquelle nous ne pourrons échapper."

La mondialisation, c’est l’augmentation des échanges de tous types entres nations, et elle parait inéluctable ne serait-ce qu’au vu du développement des techniques.

Le néo-libéralisme, c’est la mondialisation dérégulée et l’affaiblissement des nations, avec destruction du pouvoir de décision local, ne devant plus rester dans les états-nations que les forces de coercition permettant aux entités apatrides détentrices des richesses de les protéger et augmenter.

Il n’y a rien d’impossible a combattre le néo-libéralisme en redonnant du pouvoir aux nations, même si cela implique des sacrifices, à partir du moment ou l’on comprend que le néo-libéralisme conduit inéluctablement à l’esclavage du plus grand nombre au profit d’une petite minorité.


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