Il ne faut pas avoir peur de voir l’hôpital public disparaître. Ce qui est en cours, c’est une réorganisation :
1) Les soins rentables, bobologie, chirurgie sans trop de risque, maladies courtes ou maladie dont on connaît un traitement efficace : au privé.
2) Les soins coûteux ou non solvables, longues maladies, chirurgie lourde, soins palliatifs : au public.
Tout ceci dans la plus pure doctrine macroniste : privatisation des profits et socialisation des déficits.
Adam Smith est grand et Macron est son prophète.