Jason Jason 2 décembre 2019 11:53

Votre article est très percutant. Véritable feu d’artifice qui enflamme les cloisons de papier dont nous sommes entourés.

Merci pour cette analyse très vigoureuse d’un film qui capitalise sur la dérive « mafieuse douce » qui gangrène tout un pays au niveau des idées et des actes politiques. En fait, pas si douce que ça si on pense qu’il y a autant d’armes à feu que d’habitants.

J’ajouterai :

« La démocratie a réussi ce coup de force de créer une ambiance intérieure de tabous et de dictature beaucoup plus efficace que les autoritarismes old shool ; on a donné à cette nouvelle morale le doux nom évocateur de « politiquement correct ». Ca s’appelle le »nudge« ou encore propagande douce, inauguré dès les années ’20 aux USA grâce aux entreprises de conseil en communication (voir un docu. récent sur Arte ou la 5)

 » à quoi rêve un pauvre, fou, inconnu, humilié ? Il rêve d’être riche, intelligent, reconnu, dominateur !" The dearest wish of a slave is to have slave of his own : Le voeu le plus cher d’un esclave est d’avoir son propre esclave.

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