@nono le simplet
Un trait incroyable vif et ironique ; et pourtant de la tendresse. Son beauf est parfois émouvant. Je crois que Cabu avait gardé son âme d’enfant, et qu’il était toujours ce grand duduche, qui avait fait tout de même l’Algérie. Mais dans le service de presse...Le journal de Catherine un peu oublié vaut le coup d’œil.