@Lambert
Maintenant, c’est chacun pour soi. L’autre n’est plus un frère ou une soeur à épauler mais une proie à dévorer.
Je crois que vous exagérez un peu. J’habite en Provence et devant les catastrophes naturelles que nous connaissons, je vois au contraire, une solidarité et une entraide exceptionnelles. Des habitants, spontanément, apportent des vêtements, des vivres, ils aident à nettoyer, à sortir les meubles sur les trottoirs etc
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Ce sont peut-être les médias qui font croire « à chacun pour sa pomme », ce n’est pas ce je vois dans la réalité. Personne n’interdit de discuter avec les autres clients, et avec les caissières, quand on fait ses courses...
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Peut-être que dans les grandes villes, c’est différent, mais « en province profonde », on peut continuer à avoir des relations normales avec les autres.