velosolex velosolex 4 janvier 2020 18:31

@Pale Rider
Camus s’en ai jamais pris aux fillettes, mis à part celles de champagne. Le dialogue avec Matzneff ?...Denise Bombardier exhumé d’apostrophes 90 n’est pas mal, quand elle lui lâche son chapelet de bombes incendiaires sur son crâne d’œuf !.
Ce genre de document est accablant avec les années….
Camus s’en tire vraiment bien avec le grand jury du temps. Il n’a pas célébré Staline, et a toujours été un peu l’élection libre, un peu Orwell à ses heures ; On lui a tenu rigueur avec cette histoire de pays et de mère. ..Pendant ce temps là d’autres niquaient des gamines. L’affaire Matzneff en bande organisée, révèle les liens incestueux entre médias et politique. Beibeder vient d’en rajouter une couche en relevant que l’attribution du Renaudot aurait été encore une fois, lié à des sympathies plus qu’à des qualités littéraires.  « C’est clair qu’il n’aurait jamais eu le prix pour un de ses journaux intimes », poursuit-il, assurant que le jury avait « voulu aussi faire preuve de compassion » à l’égard de Gabriel Matzneff. Rappelons que cette année, le prix a été donné à Sylvain Tesson, pour « la panthère des neiges » court circuitant l’écrémage d ’un comité de sélection qui avait permis de déterminer un quarteron d’œuvres, ou le nom de cet auteur n’apparaissant pas...
Preuve de compassion, d’amitié ?...Bis repetita en rapport avec l’année précédente. 


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