@JL
 l’enfant est à même de comprendre les opérations mentales qui ne sont pas étrangères à son entendement, et à ses capacités liées à son développement et à sa maturité.
Mais nous touchons non seulement là le problème de la sexualité, mais en la confrontant à celle des adultes, dans une rencontre explosive, propre à le casser définitivement. 
Les arabesques de cette dame tentent d’ajouter de la confusion à quelque chose de très simple à comprendre. Prendre le contrôle d’un jeune individu est aussi facile que de voler une mobylette. Le livre de cette victime « consentante » de Matzneff en est une représentation, bien loin des théorisations boiteuses, qui sont comme des légitimations du pire
La culpabilité est le sort de toutes les victimes. Vous êtes attentif à copié collé une déclaration de Dolto choisie dans le texte, entendable, propre à la blanchir, en oubliant les non sens et les aberrations dignes de Dutroux qu’elle lâche. 
La psychanalyse a fait sans aucun doute du bien à certains. Du mal à d’autres. Entendu que ce n’est pas une science, qu’elle met une personne en difficulté sous influence d’un démiurge, et des analyses borgnes et orientées, faisant parfois le passage du divan au lit. Nous passons ainsi du domaine du soin, à celui parfois de la soumission, et de la bêtise, voir du crime