@JC_Lavau. Expérience courante et facile dans la cheminée : comparer le pouvoir calorifique de bois sain, et de bois pourri. Dans le bois pourri, il ne reste plus grand chose à brûler : la moisissure a déjà oxydé un maximum de ce qui était possible dans la cellulose et les lignines, et il ne reste guère de carburant.
Dans une litière d’eucalyptus, pratiquement rien n’a pourri, c’est du momifié desséché.
Alors que dans un sous-bois de feuillus, une abondante végétation est possible à l’étage herbacé.