La
bonne question n’’est pas de déterminer qui serait le plus fort en
cas de conflit ouvert et généralisé. D’ailleurs les iraniens
Mollahs savent qu’ils n’ont pas intérêt à provoquer un conflit de
cet ordre, car ils perdraient tout. Ils peuvent perdre, plus
lentement, si le peuple continue sa révolte, quelque soient les
répressions sanglantes déjà commencées. Quelle est la vonlonté
de tous de freiner les ambitions mortifières iraniennes ? Si cette
volonté se manifeste, il y aura la paix assez prochainement. Sinon,
elle ne viendra qu’après un affrontement sévère et de courte durée
avec les Mollahs.