@ Odin
Précisément, cela montre que les puissances en question n’avaient pas d’intérêt particulier à booster Macron en 2017 puisque Fillon — et je suis en plein accord sur ce point — faisait l’affaire. De même que Juppé qui, s’il avait été adoubé lors de la primaire, aurait conduit Macron à se retirer du jeu.
Bref, Macron n’était qu’une roue de secours. Et c’est pourquoi je persiste à considérer qu’il a parfaitement joué le coup en imposant son timing. La chance a fait le reste, par le biais de l’affaire Fillon que personne n’avait vu venir, mais aussi grâce à la haine de Sarkozy pour Juppé qui a amené l’ex-président à ne pas débrancher Fillon alors qu’il en était encore temps (Fillon était prêt à se retirer la veille du meeting du Trocadéro).