velosolex velosolex 2 février 2020 00:48

@velosolex

Une langue, c’est la musique d’un peuple, et s’en estropier c’est se condamner à ne plus bien danser, à perdre un peu le sens de l’histoire, à se laisser submerger par les eaux

 .L’éternelle querelle des langues régionales (source : Le journal Libération) :« Nos voisins européens s’appliquent à sauver leurs langues lorsque nous les laissons mourir, quand nous ne les aidons pas à mourir », accusent Urvoas et le patron des députés PS, Bruno Le Roux, qui ont fait voter une proposition de loi sur la charte européenne des langues régionales en 2014 : ils citent la bonne santé du catalan et du basque côté espagnol ou du gallois, quand « la survie du breton est menacée ».

 A ce jour, vingt-cinq Etats ont pourtant ratifié cette charte, dont dix-sept membres de l’Union européenne. Huit autres l’ont signé mais n’ont pas encore procédé à la ratification, dont deux membres de l’Union européenne : la France et Malte http://bit.ly/1O57Aoe

  Ainsi, si grâce à l’Espagne, le basque est reconnu, et si d’autres langues minoritaires comme le romani, le ruthène, l’aragonais, le lapon, le yiddish, le tatare le sont aussi, comme tant d’autres, le breton, seule langue non latine de notre pays, et dont les racines celtiques sont les mêmes que notre vieux gaulois, est toujours considéré comme une curiosité de seconde zone, à qui il faut faire barrage. http://bit.ly/1XwiKUK

 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe