Bonjour, Roland
Su le fond, vous avez évidemment raison.
Pour autant, il ne faut pas donner au mot « coupable » l’importance que vous lui attribuez. Personne ne songe à éradiquer les animaux porteurs de virus ou de bactéries transmissibles à l’homme. Il s’agit là simplement d’un mot, certes connoté négativement, permettant d’éviter d’user d’une longue périphrase pour désigner le vecteur de la transmission.
Bref, pas de quoi fouetter un chat !