eric 12 février 2020 12:57

la bête sauvage toujours sincère, toujours vraie, toujours juste… et propre ?

Un exemple pour nous tous ! Elle élimine qui s’aventure sur son territoire, interdit souvent aux plus faible l’accès au sexe et à la reproduction, bouffe ses vieux, parfois ses propres rejetons, et toujours les plus faibles. Contraint les femelles à l’ace sexuel, pourvus qu’elles soient en chaleur. Exploite son environnement sans vergogne, jusqu’à ce que son épuisement limite automatiquement la croissance de son espèce.

Un processus écologique de sélection naturelle qui assure l’équilibre sur la planète et sauve le climat au quotidien. 

Perso, je suis chrétien, et j’ai la faiblesse de croire que toute vie humaine mérite d’être vécue et dans la dignité. Mais j’admet que l’approche écologique, fondée sur la sélection naturelle des individus les plus méritant, n’est pas dénuée de fondement scientifique.

Sa logique toutefois, c’est, comme pour une vulgaire « espèce animale propre », de limiter le nombre de sujets. De même que quand certains prédateurs deviennent trop nombreux, les écolos préconisent d’éliminer les surnuméraires pour préserver la bio diversité. La logique, l’horizon, de l’écologie militante, n’est pas la décroissance économique. Celle-ci implique une pression humaine plus forte sur le milieux naturel ( par exemple, l’agriculture bio, il faut plus de terres, d’eau, de travail, etc...), c’est la décroissance du nombre d’humain. On n’en prend pas le chemin...

C’est égal, on sait l’écologie politique à gauche, et la gauche, c’est le volontarisme social et sociétal. Les chinois ont déjà interdit le second enfant. On ne doute pas que nos écolos finissent par comprendre les enseignements réels de nos bêtes sauvages.

Alors oui, en perspective, l’écologie politique nous promet un ensauvagement. 


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