Ce qui suit, vient éclairer la nature de notre soutien à Julian Assange :
- Notre instinct
- Notre émotion
- Notre capacité de raisonnement
D’instinct nous sentons que le procès qui est fait à Assange est d’une nature politique ; qu’il y a « anguille sous roche ».
Les conditions d’existence de Julian et le sort qui l’attend s’il est extradé, appellent la compassion.
A chaque fois que nous sommes confrontés aux médias de nos dix milliardaires ( à leurs choix éditoriaux - radio, télé, internet, papier), nous réalisons à quel point le travail de Wikileaks et d’un journalisme de révélation et d’investigation du réel est d’une nécessité absolue.
D’autant plus que nous sommes attachés à cette information qui prend à bras le corps le questionnement suivant : qui fait quoi, à qui, pour-quoi, où, comment et pour le compte de qui ?