Ah mais pardon !
- L’animalité de la femme n’existe pas ! Seuls des misogynes pathologiques peuvent imaginer une chose pareille !
- Elle est sublime, et vous devez lui obéir sur le champ, sans rien chercher à comprendre.
- L’animalité de l’homme mâle est le mal incarné, qui suscite l’horreur,
- sauf toutefois au moment de l’ovulation, où est recherché le mâle le plus mâle, le plus visiblement irrigué en testostérone.
Remarquez, l’espèce humaine a pu parvenir jusqu’ici parce que justement les réflexes hétérosexuels et de soins aux petits, fonctionnent dans l’ensemble pas trop mal.
Dans l’ensemble...