@Clojea
Sachant par expérience que la nuance sur laquelle je vais ’zoomer’ risque de passer, auprès de gens pressés, pour un coupage de cheveux en quatre, mais sachant aussi que le diable se cache dans les ’détails’, je tiens à bien distinguer les notions de ’bien du peuple’, ’Volonté Générale’ , et participation ou expression citoyenne.
   
 Par soucis de concision, et en choisissant une formulation elliptique non pas pour asséner mais pour favoriser des réflexions personnelles je dirai :
 — qui se permettrait de choisir pour autrui (en se voulant démocratique) ce que pourrait bien être un ’bien du peuple’ ?
— la « Volonté Générale » n’est-elle pas en amont de ce qui peut (ou pourrait) permettre d’évaluer un ’intérêt général’ (ou un ’bien du peuple’) ?
 — le ’dictateur’ n’est-il pas celui qui dicte au peuple Sa Vérité personnelle officialisée ?
— le pouvoir (politique, armé, économique) ne passe-t-il pas avant tout par des mots (des commandements, des ordres aboyés à des subordonnés) ou par des écrits (Constitution, lois, traités, ...) ? C’est à dire par une expression verbale officialisée ?
— pour permettre au peuple de partager le pouvoir politique (un citoyen, une voix) ne serait-il pas pertinent de lui permettre de partager (avec un même ’temps de parole’ pour chacun) l’audience et l’expression verbale officielle ?