Certainement que ce confinement va bousculer des esprits, le mien en premier lieu...
De là à une restauration de « l’être » comme moteur d’existence je vous sent bien optimiste mais après tout pourquoi pas (ça ne durera peut-être pas assez longtemps pour ça ). Mais ça laissera des traces, certainement.
Certes la précarité (sociale) engendrée réduira les esquives multiples pour s’oublier, mais là aussi il y a impréparation et le résultat n’est pas acquis.
Mais bon restons positif...