L’auteur nous dit donc qu’il compte sur le virus pour le sortir de son marasme intellectuel, après avoir rabâché d’un article à l’autre, que ce n’était qu’une grippette.
Aussi illusoire me semble t’il qu’un sourd qui se mettrait à écouter du hard rock à fond, en espérant que cela lui débouchera les oreilles, pour continuer à parler musique, !
Un grand Malher ne vient jamais seul, comme tout le monde le sait. Le printemps de Vivaldi est déjà soldé. Les quatre saisons pour le prix de trois. Peut être moins.