@Bernard Dugué
Non, c’est facile de critiquer, non pas du fait de l’anonymat d’un pseudonyme, mais parce que :
— vous écrivez n’importe quoi ;
— vous écrivez tout et le lendemain son contraire ;
— vous vous contentez de compiler des infos auxquelles, pour la plupart, vous n’entravez que dalle ;
— vous n’écrivez que pour vous montrer et flatter votre égo surdimensionné.

Vous ne prenez pour seul risque, pour ce qui vous concerne, que celui de passer pour un imbécile. Mais visiblement, c’est un risque qui représente peu pour vous, puisque vous persistez à vous exposer et à exposer vos âneries et, ce, quasi quotidiennement !

Si vous n’aviez ne serait-ce qu’une once de la pertinence intellectuelle à laquelle vous prétendez, ce n’est pas ici, dans ce sous-samizdat complotiste de paranos fébriles craignant le grand remplacement et adorateurs de tyrans populistes, que vous publieriez, mais chez des éditeurs de prestige scientifique.

Ce n’est pas parce qu’on s’expose publiquement que l’on est irréprochable.
Là encore, la logique vous fait défaut.
C’est quand on s’expose qu’il faut être irréprochable.
Par ailleurs, nulle part, vous n’avez fait acte de contrition pour votre arrogance dénoncée ci-dessus. Pour vos jugements à l’emporte pièce, pourtant, paraît-il, à vous en croire, tout aussi étayés que les articles que vous pondiez le lendemain et qui les contredisaient... Pas la moindre excuse. Pas le moindre scrupule.

Vous continuez à vouloir nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

Alors, par pitié, profitez de ce moment de confinement pour faire le point. Un bilan sur vous-même. Une bonne grosse introspection sans fausse pudeur de vierge effarouchée. Profitez de ce temps particulier pour bien vous examiner. Pour un auto-diagnostique solide.
Et cessez de nous abreuver de vos conneries.