Fergus Fergus 3 avril 2020 11:18

Bonjour, Séraphin Lampion

La privation de libertés, acceptable dans la circonstance que nous vivons, ne pourra être mesurée, et remise en cause par les citoyens, que s’il est avéré qu’elle perdure en sortie de crise comme cela avait été le cas après l’état d’urgence lié aux attentats, qui avait conduit à inscrire dans la loi ordinaire des dispositions prises durant cet état d’urgence. Attendons pour crier au loup qu’il ait montré le bout de son museau...


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