Cela fait des années, que j’avais senti venir un potentiel cheval de troie sur le prétendu « humanisme » de l’euthanasie : nous y voilà.
Entendons nous bien, je suis profondément de tout coeur avec les malades qui décident en finir de « manière éclairée » et je suis profondément pour les y accompagner. Cependant, dans le monde libéral dans lequel nous vivons nous ne pouvons jamais ô grand jamais autoriser le système à prendre des décisions « par défaut » en notre nom.