Clark Kent Séraphin Lampion 7 avril 2020 12:20

Ce que les adeptes d’un plan Marshall n° 2 omettent (et c’est impressionnant d’aveuglement), c’est que le prêt (car ce n’était pas un cadeau) accordé à l’Europe n’avait pas pour but de « refinancer » des entreprises en situation de faillite, mais de financer la reconstruction de pays détruits en permettant aux pays en question de payer des travaux et non pas de compenser des pertes, ce qui a permis de reconstituer un outil de production et de payer des salaires.

Les fidèles de Keynes n’ont pas tout compris : ils veulent utiliser une recette alors qu’ils n’ont pas les ingrédients.


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