Bonjour, PRCF

Je n’affirme pas que le chiffres chinois sont faux, et c’est pourquoi j’ai écrit « probablement » en me fondant sur un faisceau d’indices allant dans ce sens : témoignages de Chinois eux-mêmes, nombre massif de récupération d’urnes funéraires, doutes exprlmés par de nombreux sinologues, etc.

Ce pays nous a d’ailleurs habitués depuis fort longtemps à privilégier très largement la communication politique à la transparence des faits. Y compris dans cette crise sanitaire. N’oublions pas que le virus est apparu dans l’automne 2019 et que l’alerte lancée par le Dr Li Wenliang, non seulement n’a pas été relayée par les autorités chinoises, mais a conduit ce médecin en prison !

Il est décédé depuis, mais pas Ai Fen, sa cheffe de service à l’hôpital de Wuhan, la découvreuse du virus, qui a disparu elle-même sans laisser de traces depuis quelques semaines. Où est-elle ?

Transparente, la Chine ? Allons donc, soyons sérieux : elle n’a consenti à alerter l’OMS que lorsqu’il ne lui a plus été possible d’empêcher un confinement. Beaucoup de temps perdu de ce fait, et sans doute une description de la réalité telle qu’elle n’a évidemment pas aidé les pays occidentaux à s’organiser en dressant plus vite des barrières entre la Chine et l’Europe. 

Sur la priorité donnée par les occidentaux au profit sur la santé, cela a été indéniable jsqu’à cette crise, et les pertes de vies actuelles sont en grande partie le fait de cette impréparation coupable, une incurie pour laquelle il faudra demander des comptes. Affimer en revanche que cette doctrine est de mise en ce moment de la castastrophe sanitaire me semble hors-sujet et contredit par la priorité donnée à la vie des citoyens. Nul ne sait ce qui sortira de cela.