@foufouille
L’agressivité pour tenter de combler la bétise…
Les gogos de ton niveau commencent à disparaitre tout de même, et ça préoccupe la FNSEA. 
Qui nous faisani bouffer des salades contaminés lors de la catastrophe de Tchermobyl, alors que les autres pays européens avaient balancé leurs légumes. 
.Ce n’est pas une illumination, ce que je dis là, mais quelque chose de totalement lambda. Ce processus économique remonte au début de la mondialisation, avec les méthodes impérialistes anglaises, et le commerce triangulaire 
Les règles de l’OMC bénéficient aux grand groupes français, genre Bigeard. Le dumping leur permet d’amener des merdes sur le marché africain ou asiatique, qu’évidemment le producteur local ne peut pas suivre...Ta santé, c’est le cadet de leur souci. Tu pourras bouffer du Roundup par les racines, ils s’en contrefoutent. 
Ton « bio » ça n’existe que dans ta tête.
Là bas, en Afrique noire, ou en inde, les gens ne vont pas acheter des graines. ils dont du bio depuis toujours, sans le savoir, car c’est simplement la façon qu’on leur a appris, avec le support de la nature dont ils disposent.
Ca date du temps d’avant que l’agrochimie n’ existe et fasse croire qu’ils font dans « le traditionnel » comme ils disent, appellation arnaqueuse pour les naïfs, qui n’est que du chimique, voir de l’OGM, mais dit comme ça, c’est pas attirant. 
.Si on laisse la jungle se faire, quand les producteurs locaux ont disparus, les trusts sont maitres du marché, et imposent leurs prix.
Le comble a été atteint au niveau du cynisme lors du lait maternel Nestlé, qu’une campagne de pub a imposé sur le marché africain, en culpabilisant les mères « Achetez du lait en poudre Nestlé, et vous aurez de beaux bébés »…
.Une hérésie, car le lait maternel a des qualités irremplaçables, et surtout l’eau utilisée pour le délayer, issu des puits, était une source d’empoisonnement pour les bébés, qui sont morts par milliers. Ne parlons pas des mères qui s’endettaient pour acheter cette merde…..
Les scandales de ce genre sont légions. On impose à des gens, des habitudes de consommation auxquels ils ne sont pas préparés, amenant des effets pervers à foison.