« La permanence de sons indésirables... »
Ô combien vrai ! Ainsi, la musique techno, déversée l’été par les fenêtres ouvertes d’un appartement, m’est-elle insupportable au plus haut point. Mais sans doute en va-t-il de même pour certains avec les cantates de Bach ou les suites orchestrales de Haendel que je prends un si grand plaisir à écouter. Comme quoi la nuisance des uns n’est pas celle des autres !