Hervé Hum Hervé Hum 22 mai 2020 10:11

vous écrivez

. Les plaintes sont déposées car les plaignants estiment que les politiques mis en cause ont menti, ont falsifié la vérité, ont peut-être même privilégié des intérêts privés à l’intérêt général

disons que les politiques peuvent toujours justifier le mensonge, puisque leur prise de pouvoir se base essentiellement sur l’acceptation du mensonge, où c’est la règle de base et ce, en accord avec les électeurs et le système judiciaire (parler de justice est insulter celle-ci). En tout autre cas, mentir pour tromper et abuser quelqu’un est un délit, sauf en politique. tout comme définir les salaires et autres avantages en natures des élus, devrait être du seul ressort des citoyens via un débat public et vote par référendum, puisque cette pratique est interdite car relevant de l’abus de biens sociaux. Ce qu’ils font sans vergogne.

Par contre, le seul véritable point qui peut être porté au pénal, c’est d’avoir privilégié des intérêts privés au détriment de l’intérêt général et où le mensonge peut alors être utilisé comme preuve de la collusion, mais toute la difficulté est évidemment de le prouver.

Sur ce dernier point, même le président de la république n’est pas théoriquement à l’abri, même si dans la pratique il l’est. Ceci, parce que privilégier des intérêts privés (surtout si la ou les entreprises sont sous domination d’actionnaires étranger) sur l’intérêt général relève de la haute trahison et non pas d’une simple prise illégale d’intérêt, qui n’est recevable que pour les fonctionnaires, mais pas pour un président de la république en raison même de sa fonction. Mais encore une fois, aucun juge n’ira dans cette voie, même si elle repose sur l’évidence. Seuls les ministres peuvent à la limite êtres poursuivi.


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