Opposition contrôlée Opposition contrôlée 23 mai 2020 14:14

@agent ananas
La réalité est plus complexe. Henry Ford par exemple, fondateur de la toujours existante entreprise d’automobiles, tout américain qu’il était, a financé et soutenu les nazis (comme Walt Disney). Hitler avait son portrait dans son bureau.
Après la guerre, les américains ont recyclé non seulement des Wernher von Braun, mais aussi une grosse partie du personnel de la gestapo, pour aller lutter contre le communisme en Amérique du Sud... Et Ford était toujours là. Et les banquiers juifs de New York aussi.

La France, aujourd’hui, est un protectorat américain. Dans la plus pure tradition coloniale, ils promeuvent des minorités aux postes de commande (visibles) pour les rendre dépendantes du protecteur, car menacés par la majorité, puisqu’ils sont des usurpateurs.

Les bourgeois français ont fait de même avec les juifs d’Algérie (décret Crémieux), ou au Liban : tandis qu’en métropole ils étaient des laïcards bouffeurs de curés, ils ont favorisé une minorité chrétienne pour la rendre dépendante de son protecteur français contre une majorité musulmane, a grand renfort de catholicisme.

Lisez : La bourgeoisie juive et la lutte révolutionnaire (22 décembre 1938)

Le Père Coughlin, qui cherche apparemment à démontrer qu’une morale idéaliste absolue n’empêche pas l’homme d’être la pire canaille, a déclaré à la radio que j’avais dans le passé reçu pour la révolution d’énormes sommes d’argent de la bourgeoisie juive des États‑Unis. J’ai déjà répondu dans la presse que c’était faux. Je n’ai pas reçu d’argent non pas, bien entendu, parce que j’aurais refusé un soutien financier pour la révolution, mais parce que la bourgeoisie juive n’a pas proposé un tel soutien. La bourgeoisie juive est restée fidèle au principe : ne rien donner. 



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe