PEET200 28 mai 2020 21:41

au delà des remarques faites :

 la série comparative parle de comorbidités en particuliers d’arythmie.hors un % important de patients sont hypoxémiques, (facteur évocateur de gravité majeure dans le COVID)et nous savons aussi que l’hypoxémie est facteur d’arthymie sévère et provoque en particulier des décompensations cardiaques, et des ’Embolie.

De ce fait, il n’y a rien d’étonnant que ces patients se retrouvent en réa, int ventilé soit par AVC, soit par embolie pulmonaire, soit par aggravation de leur FA, au delà de leurs syndrome inflammatoire de reconstitution immune, (IRIS)

..la choloroquine n’a rien à voir si les troubles du rhythme évoqués ne sont pas identifiés comme liées a un allongement du QT.

De plus , une étude pharmacologique et clinique menée en 2015 AU canaDA, conclut : « ....., l’ajout d’un médicament ayant la propriété d’allonger l’intervalle QTc ne semble pas avoir eu d’effet significatif sur l’ECG, que ce soit sur l’allongement de l’intervalle QTc ou sur la possibilité que cet intervalle dépasse la valeur de 500 ms. Nos résultats semblent également être en accord avec l’hypothèse que la présence de plusieurs médicaments prolongeant le QTc n’entraîne que peu d’effets additifs. Pour diminuer le risque de voir apparaître cet effet indésirable grave, il importe de bien cerner la population présentant un risque élevé, comme les patients âgés, de sexe féminin, qui ont des déséquilibres électrolytiques comme une hypokaliémie, une hypomagnésémie ou une hypocalcémie, qui sont atteints de bradycardie, qui présentent des comorbidités cardiaques ou une insuffisance rénale, ou dont les interactions médicamenteuses affectent la pharmacocinétique du médicament ».

Le décès des patients n’est donc en rien lié aux effets secondaires de l’hydroxyde , ni de son association avec le Zithromax, mais en lien évidemment avec la gravité des patients pour lequel le traitement n’est pas indiqué.....de plus, aucun bilan biologique n’apparait que ce soit sur le versant inflammatoire que ionique qui pourrait justifiér une aggravation au delà de toute prescription adaptée de nivaquine

cette étude dans le Lancet est une escroquerie intellectuelle

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