@JC_Lavau. Côté plaisanciers d’antan, le verbe « to plane » planer, gérondif « planing », étaient confondus avec « to plan, planning ».
Jacques Perret, écrivain fort nationaliste, s’indignait de lire dans une revue de iachetingue : « Cette partie du pont que nous sommes bien obligés d’appeler le bridge-deck, faute d’un mot français correspondant ». Comment ? Pas de mot français ? Je vous en fabrique immédiatement une douzaine : le foindrail, le saut d’arouf, le passabord, l’escabanc, ....
J’en ai donc oublié huit.